Alors que l’image de la filière vinicole est encore écornée par des dispositifs réglementaires; je retombe sur un article de la RVF n° 560 d’avril 2012 en pleine campagne électorale.
La candidat Hollande répondait ceci à la question « Que doit dire un candidat à l’Elysée au monde du vin français? »:
« Il se doit de défendre l’un des fleurons de l’économie française, en se battant contre la banalisation de la production viticole »
Bon somme toute, il n’avait pas déclaré qu’il fallait se batte contra la diabolisation…
Et un mensonge de plus! Et celui la n’est pas très grave a coté de tout ce qui se passe au niveau fiscal.
Le monde vinicole pourrait se passer des politiques. Et le monde tout court d’ailleurs. Les belges ont trouve la solution. Des techniciens dirigent le pays qui n’a jamais été aussi bien.
Bon je retourne sans mes vignes après un SANS PLUS ATTENDRE 2010 sur un onglet de bœuf, mais après une petite sieste. Et merci de ne plus nous parler de ces empêcheurs d’apporter du plaisir aux autres.
Tu as raison Philippe
C’est futile et sans plaisir
Bonnes vendanges